Prenez bien en compte que même si certaines anecdotes sont véridiques, ce qui suit relève d’une fiction.
Comme commence le testament de Ludwig Van Beethoven, j’aimerais dédier cette histoire à
mon éternelle bien aimée.
Te souviens-tu lorsque nous étions enfant de ces dunes verdoyantes irlandaises où nous aimions courir dans les flaques boueuses ? Nous nous en faisions enguirlandés par nos parents d’avoir bousillé nos godasses et en rions à pleines dents. Puis la famine est venu comme en 1845, où les irlandais crièrent famine de ne plus avoir une seule patate à manger à cause d’une bactérie.
C’est ainsi que nous étions obligés de voguer vers un autre pays qui s’appelait l’Amérique. Oh ! Nous n’étions pas sur un bateau « Titanesque », mais cela nous suffit de rêver à une autre vie insouciante en partance pour Broadway. Là, j’ai vécu d’écrits et de compositions musicales et toi, tu dansais à merveille sur les planches. Telle ma muse, je t’aimais d’un amour platonique. En ce temps, mon inspiration littéraire était aussi vaste que la ville nommée « Big Apple ». Aussi longtemps, j’ai résisté de te déclarer ma flamme, cela m’aurait empêché de me concentrer sur mes futures œuvres artistiques, mais je sais que tu en étais consciente. Je me rappelle, cependant, de cet après-midi où je t’ai chanté « Last Chistmas, I gave you my heart ».
source last christmas :
https://www.youtube.com/watch?v=j9jbdgZidu8
A New-York, nous fréquentions les pubs irlandais et j’ai vécu d’alcool et de bastons, à m’en faire des chicots.
Quand la bise humide et froide parcourt mon corps, je ressens encore ta présence de t’avoir perdue lors de cette fameuse noyade. Ton esprit me rappelle ouvertement que tu me chantais le célébre duo Françoise Hardy et Etienne Daho « Et si je m’en vais avant toi ». Me disant que tu épouserais les éléments pour me faire mal et me faire froid si je ne pense plus à toi.
source :
https://www.youtube.com/watch?v=lO6Y9FEsx6g
Sache ma bien aimée, que je vais tenter de te perdre pour me lancer vers une autre vie. Je déambulerai le Monde avec 2 groupes de musiciens : les Dubliners, dans lequel ton père chante, et les Pogues. Rappelant à tous, les musiques que nous aimions tant de ce folklore irlandais.
source (Jacks Heros) :
https://www.youtube.com/watch?v=gmxMe4mrzBs
Ce que je regrette à Noël, c’est de penser que nous ne sommes plus ensemble lorsque des familles le fêtent, petits et grands.
"Tout ce que j’aurais aimé c’est que tu sois là" encore, comme le chante Maria Carey et je sais que chaque année, ce morceau me rappellera à toi, ton esprit de Noël,
mon éternelle bien-aimée.
source :
https://www.youtube.com/watch?v=yXQViqx6GMY
Shane
Et chapeau pour les transitions musicales !